Une très intéressante visite au camp de Rivesaltes, un lieu évocateur des drames de la Retirada, toujours poignant dans sa solitude désolée. Une exposition temporaire des œuvres de Josep Bartoli nous a rappelé ce que l’on ne perçoit plus aujourd’hui de l’enfermement et des conditions de survie de ces déracinés chassés par la dictature.
La présentation initiale d’un guide inspiré a su également mettre en avant les autres fonctions de ce camp voué au cours des temps à accueillir d’autres déracinés dans des conditions toujours aussi inhumaines.